10 des poèmes les plus réconfortants et beaux sur la mort

La poésie parvient en quelque sorte à transmettre des choses que d’autres formes d’expression ne peuvent pas.

Et ce n’est pas différent lorsque le sujet est quelque chose qui nous touche tous : la mort.

A lire en complément : Pourquoi faire du sport en salle ?

Que ce soit en tant que personne en deuil d’un être cher ou en tant que personne qui fixe sa propre mort, les poèmes peuvent susciter des pensées et des émotions pour nous aider tous à faire face à l’inévitable.

Voici notre choix des 10 poèmes les plus beaux et réconfortants sur la mort et la mort.

A lire en complément : Quelques conseils pour visiter les lacs de Plitvice, en Croatie

Visualisation sur un appareil mobile ? Nous vous recommandons de tourner votre écran horizontalement pour assurer le meilleur formatage pour chaque poème.

1. Ne vous tenez pas à ma tombe et pleure par Mary Elizabeth Frye

Ce poème inspirant sur la mort d’un être cher nous invite à les chercher partout autour de nous dans la beauté du monde.

Écrit comme s’il était parlé par le défunt, le poème nous dit que même si son corps peut être donné au sol, sa présence vit sur.

Ce message réconfortant et sincère ne signifie pas que nous ne pouvons pas manquer quelqu’un, mais il nous rappelle que nous devrions les remarquer encore là avec nous.

Ne vous tenez pas à ma tombe et pleurez Je ne suis pas là. Je ne dors pas. Je suis mille vents qui soufflent. Je suis les reflets de diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain mûri. Je suis la douce pluie d’automne. Quand vous vous réveillez dans le silence du matin Je suis la ruée édifiante rapide Des oiseaux calmes en vol cerclé. Je suis les étoiles douces qui brillent la nuit. Ne vous tenez pas à ma tombe et ne criez pas ; Je ne suis pas là. Je ne suis pas mort.

2. Il n’y a pas de nuit sans l’aube par Helen Steiner Rice

Ce court poème est un choix populaire pour les funérailles parce qu’il nous rappelle que malgré la mort de quelqu’un dont nous nous soucions, l’obscurité de notre chagrin passera.

Alors que la mort est difficile à porter au début, ce poème nous dit que ceux qui sont morts ont trouvé la paix dans un « jour meilleur ».

C’ est un une pensée rassurante pour ceux qui pleurent.

Il n’y a pas de nuit sans l’aube Pas d’hiver sans printemps Et au-delà de l’horizon sombre Nos cœurs chanteront une fois de plus… Pour ceux qui nous quittent pour un moment Ne sont partis que Sortis d’un monde agité et soigné Dans une journée plus radieuse.

3. Retournez à la vie par Mary Lee Hall

Ce beau poème a peut-être été rendu le plus célèbre pour avoir été lu aux funérailles de la princesse Diana.

Elle exhorte l’auditeur — le plus triste — à ne pas pleurer longtemps, mais à embrasser à nouveau la vie.

Il nous dit de chercher ceux qui ont aussi besoin de réconfort et de prendre le manteau qui nous a été laissé par les chères défunts.

Si je devais mourir et te laisser ici un moment, être pas comme d’autres endoloris défait, qui gardent longues veillées par la poussière silencieuse, et pleurer. Pour moi — retournez à la vie et souriez, nerveuse ton cœur et la main tremblante à faire quelque chose pour réconforter les cœurs plus faibles que les tiennes. Complète mes chers tâches inachevées et moi, je vous consolerai peut-être.

4. Adieu par Anne Bronte

C’ est un autre poème bien connu sur la mort qui nous rappelle de ne pas y penser comme un dernier adieu.

Au lieu de cela, il nous encourage à chérir les bons souvenirs que nous avons de notre être cher afin de les garder en vie en nous.

Il nous exhorte également à ne jamais lâcher l’espoir — l’espoir que nous trouverons bientôt la joie et le sourire là où nous avons maintenant l’angoisse et les larmes.

Adieu à toi ! mais pas d’adieu A toutes mes pensées les plus chères de toi : Au sein de mon cœur, ils demeureront encore ; Et ils m’encourageront et réconforteront.

O, beau, plein de grâce ! Si tu n’avais jamais rencontré mon œil, je n’ai pas rêvé Pourrait fantaisie charmes jusqu’à présent outvie.

Si je peux ne pas voir à nouveau Cette forme et ce visage si chers à moi, Ni entendre ta voix, je m’évanouirais Préserver, pour oui, leur mémoire.

Cette voix, la magie du ton Peut réveiller un écho dans ma poitrine, Créer des sentiments qui, seuls, Peut rendre mon esprit trancée bénisse.

L’œil riant, dont le rayon ensoleillé Ma mémoire ne chérirait pas moins ; — Et oh, ce sourire ! dont la lueur joyeuse Ni le langage mortel ne peut s’exprimer.

Adieu, mais laissez-moi chérir, toujours, L’espoir avec lequel je ne peux pas me séparer. Le mépris peut se blesser, et la froideur se refroidit, Mais ça persiste dans mon cœur.

Et qui peut dire que le Ciel, enfin, Puisse répondre à toutes mes mille prières, Et offrir à l’avenir payer le passé Avec de la joie pour l’angoisse, des sourires pour des larmes ?

5. Si je devais y aller par Joyce Grenfell

Un autre poème écrit comme s’il était parlé par les défunts, il exhorte ceux qui restent derrière eux à rester ce qu’ils sont et à ne pas laisser le chagrin les changer.

Bien sûr, il est toujours triste de dire au revoir, mais la vie doit continuer et vous devez continuer à la vivre au mieux de vos capacités.

Si je devais mourir avant vous, Ne cassez pas une fleur ou n’inscrivez pas une pierre. Ni, quand je serai parti, parlez en une voix du dimanche, Mais soyez les mêmes habituels que j’ai connus. Pleurez si vous le devez, La séparation, c’est l’enfer. Mais la vie continue, Alors, chante aussi.

6. J’ai senti un ange — Auteur inconnu

Ce poème sur la perte n’est attribué à personne en particulier, mais c’est un vrai don, quel que soit l’auteur.

Il nous dit de ne jamais négliger la présence d’un être cher décédé — l’ange décrit dans ces mots.

Même s’ils ne sont pas avec nous physiquement, ils restent toujours avec nous dans l’esprit.

J’ai senti un ange près d’aujourd’hui, même si je ne pouvais pas voir J’ai senti un ange oh si proche, envoyé pour me réconforter

J’ ai senti un baiser d’ange, doux sur ma joue Et oh, sans un seul mot de bienveillance, ça parlait

J’ ai senti le toucher aimant d’un ange, doux sur mon cœur Et avec cette touche, j’ai senti la douleur et la douleur à l’intérieur du départ

J’ ai senti les larmes tipides d’un ange, tomber doucement à côté de la mienne Et il savait que comme ces larmes sèchaient un nouveau jour serait à moi

J’ ai senti les ailes de soie d’un ange m’enivrer d’amour pur Et senti une force en moi grandir, une force envoyée d’en haut

J’ ai senti un ange oh si proche, bien que je ne pouvais pas voir J’ai senti un ange près d’aujourd’hui, envoyé pour me réconforter.

7. Son voyage vient de commencer par Ellen Brenneman

Voici un autre poème édifiant et inspirant sur la mort qui nous encourage à penser à un être cher non pas comme disparu, mais comme sur une autre partie de leur voyage.

Il ne parle pas spécifiquement d’une vie postérieure, mais si c’est ce que vous croyez, ce poème vous sera d’un grand réconfort.

Si vous ne croyez pas en de telles choses, cela parle aussi de l’existence continue d’une personne dans le cœur de ceux qu’elle a touchés.

Ne pense pas à lui comme parti son voyage vient de commencer, la vie tient tant de facettes cette terre n’en est qu’une.

Il suffit de penser qu’il se repose des douleurs et des larmes dans un lieu de chaleur et de confort où il n’y a pas de jours et d’années.

Pensez comment il doit souhaiter que nous pourrions connaître aujourd’hui comment rien que notre tristesse peut vraiment disparaître.

Et pensez à lui comme vivant dans le cœur de ceux qu’il a touchés… pour rien aimé n’est jamais perdu et il était tellement aimé.

8. Paix mon cœur par Rabindranath Tagore

Quand quelqu’un qui nous intéresse meurt, la paix peut sembler loin à l’avenir. Mais il n’a pas besoin être, comme le montre ce poème.

Si nous ne cherchons pas à résister au passage, mais à le voir comme une grande résolution à quelque chose de beau — une vie — nous pouvons avoir la paix même quand un être cher s’éloigne.

Il nous appelle à accepter que rien n’est permanent et à respecter que la vie cédant la place à la mort est la voie naturelle des choses.

Paix, mon cœur, que le temps de la séparation soit doux. Que ce ne soit pas une mort, mais une complétude. Laissez l’amour fondre dans la mémoire et la douleur en chansons. Laissez le vol à travers le ciel se terminer par le pliage des ailes au-dessus du nid. Laissez le dernier contact de vos mains être doux comme la fleur de la nuit. Restez immobile, ô Beau Fin, un instant, et dites vos derniers mots en silence. Je m’incline devant vous et je tiens ma lampe pour éclairer votre chemin.

9. Si je devrais aller demain — Auteur inconnu

Autre poème d’origine inconnue, il nous appelle à considérer la mort non pas comme un adieu, mais comme une transition dans la façon dont nous communiquons avec nos proches.

Non qu’ils soient ici plus longtemps avec nous, mais leur amour peut toujours être ressenti — les cieux et les étoiles de ce verset représentant peut-être le monde qui nous entoure.

Si je devais y aller demain Ce ne serait jamais au revoir, Car j’ai laissé mon coeur avec toi, Alors ne pleure jamais. L’amour qui est au fond de moi, Vous atteindra depuis les étoiles, Vous le sentirez du ciel, Et ça guérira les cicatrices.

10. Crossing The Bar par Alfred, Lord Tennyson

À première vue, ce poème peut sembler avoir peu à voir avec la mort, mais les métaphores qu’il utilise parlent clairement de la transition de la vie à la mort.

La « barre » fait référence à une barre de sable ou une crête submergée entre l’océan et une rivière à marée ou un estuaire et l’auteur espère une marée si grande qu’il n’y aura pas de vagues sur cette crête.

Au lieu de cela, alors qu’il s’embarque dans son voyage vers la mer (ou la mort) — ou quand il revient d’où il est venu — il espère un voyage paisible et voir le visage de son Pilote (de Dieu).

Coucher de soleil et étoile du soir, Et un appel clair pour moi ! Et qu’il n’y ait pas de gémissements du bar, Quand j’ai mis à la mer,

Mais une telle marée comme bouger semble endormie, Trop plein pour le son et la mousse, Quand ce qui a puisé de l’infinie profondeur Il retourne à la maison.

Cloche du crépuscule et du soir, Et après ça, l’obscurité ! Et qu’il n’y ait pas de tristesse d’adieu, Quand je m’embarque ;

Pour ceux-là de notre Bourne du Temps et du Lieu Le déluge peut me porter loin, J’espère voir mon pilote en face à face Quand j’ai crost la barre.

 

vous pourriez aussi aimer