Renault-Nissan, vers un nouveau Dieselgate
L’ utopie d’une industrie écologique est belle. Mais la réalité des usines et des machines est tout à fait différente. Après le scandale allemand de la voiture manipulée par Vlo, la paire Nissan Renault vient donner une nouvelle illustration.
En fait, le groupe Franco Nippon est soupçonné d’avoir installé un « logiciel de gréage » au Royaume-Uni. « Ce logiciel aurait permis de contourner le test pour les émissions polluantes », rapporte Capital Magazin dans sa version en ligne, notant qu’il s’agit « d’un cas qui rappelle Volkswagen Dieselgate ».
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Il s’agit d’environ 1,4 million de véhicules diesel et essence au Royaume-Uni.
Londres cabinet d’avocats Harcus Parker approuve cette affaire « déclare qu’ils reçoivent des documents montrant que 100 000 Nissan Qashqai essence, l’une des voitures les plus vendues au Royaume-Uni, polluant les émissions sur la route 15 fois plus élevé quenormal. »
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La société « demande aux clients concernés de se faire connaître » et « estime que les consommateurs ont donc payé un prix trop élevé pour acheter leur voiture et recevoir une compensation de 5 000 livres chacun ».
Nissan a fortement contesté ces allégations. « Nissan n’a pas utilisé de logiciel de gréage dans les voitures que nous fabriquons et n’utilise pas de logiciel de gréage et tous les véhicules (nos) sont parfaitement conformes aux lois sur les gaz d’échappement », explique le fabricant japonais.